Les recherches généalogiques

Les recherches généalogiques

La généalogie par quartier

La généalogie la plus complète, étudie vos ascendants paternels et maternels. Cette recherche qui révèle toutes les branches de votre généalogie est appelée « généalogie par quartiers ».

En généalogie, un quartier est une personne. Vous avez deux parents, quatre grands-parents, huit arrières grands-parents, seize arrières-arrières, à la septième génération vous avez 126 ancêtres (quartiers) et ainsi de suite.

A chaque génération, le nombre d’ancêtres retrouvés est multiplié par deux. Votre arbre s’étoffe donc à chaque génération.

Vous pouvez choisir de démarrer une « généalogie par quartiers » par la personne de votre choix, vos enfants, vous-même, l’un de vos parents, l’un de vos grands-parents.

Si vous souhaitez connaître toutes vos régions d’origine et vos ancêtres tant paternels que maternels, vous opterez pour une « généalogie par quartiers ».

Retrouver toutes mes prestations si vous souhaitez en savoir plus.

La généalogie patronymique: cognatique ou agnatique

La généalogie cognatique

Cognatique est un adjectif utilisé pour décrire une relation qui existe entre des cognats . Les cognats sont des personnes qui sont liées entre elles par un ancêtre commun, soit par le côté maternel, soit par le côté paternel de la famille.

En généalogie, lorsqu’on travaille sur la « lignée cognatique », cela signifie qu’on s’intéresse à la lignée des femmes d’un individu, c’est-à-dire la mère, puis la grand-mère, puis l’arrière-grand-mère, etc. (dans les ascendantes) ou la fille, puis la petite-fille, puis l’arrière-petite-fille, etc.

La généalogie agnatique

Dans le droit romain, un agnat  est un membre d’une famille descendant par les mâles d’un même pater familias ou d’un enfant adopté par celui-ci.

A l’opposé de la recherche cognatique, la recherche agnatique concerne la lignée par les hommes d’une même souche.

Elle est dite lignée agnatique descendante si elle est établie de père en fils, ou est dite lignée agnatique ascendante si elle est établie de fils en père.

Les questions que vous pourriez vous poser

Pourquoi faire de la généalogie ?

– Parce que la recherche est aussi passionnante qu’un bon roman
– Parce que c’est facile : même les enfants peuvent s’y mettre !
– Parce que c’est peu coûteux : un crayon et du papier peuvent suffire. Un ordinateur en plus c’est bien utile.
– Parce que ça se pratique à tout âge.
– Par tous les temps et même la nuit maintenant que les archives sont sur le net.
– Parce qu’elle peut se pratiquer seul ou en famille. Le record à battre est une réunion de 5000 cousins en 2012.

La généalogie permet de retrouver le nom de ses ancêtres, leurs métiers, leur maison, leur histoire à travers les siècles, les secrets de famille et les traumatismes qui peuvent impacter les générations suivantes. On peut réparer ces traumatismes en étudiant son génogramme en psychogénéalogie.

Du temps ? Oui il en faudra ! Faire sa généalogie prend du temps, mais faire sa généalogie c’est aussi prendre son temps, le temps de marcher dans les pas de ses ancêtres. Un voyage dans le temps ne se fait pas en 5 minutes, il vous faudra être patient, être organisé, et faire preuve de ténacité. Mais le jeu en vaut la chandelle !

Aujourd’hui, les recherches se font essentiellement sur internet.
Les recherches se font notamment dans les archives numérisées mises en ligne par les Départements. Pour faciliter la navigation dans les différents sites d’archives, j’ai créé une carte interactive . Certains départements ont totalement mis en ligne leurs archives ; d’autres en sont encore loin !
Certaines associations ont créé des bases de données mises à disposition gracieusement ou non.
Mais au-delà de la recherche de ses ancêtres dans l’état civil ou les registres paroissiaux, d’autres sources, numérisées ou non, nous permettent de connaître la vie de nos ancêtres.

Jusqu’où peut-on remonter ?
Généralement il est possible de remonter jusque dans les années 1600. Au-delà, c’est très difficile voire impossible, seuls les personnes pouvant se rattacher à une branche de la noblesse réussissent à remonter quelques siècles supplémentaires. Toutefois cette limite des années 1600 est très relative et dépend de nombreux paramètres, comme le lieu de résidence des ancêtres, leur statut social, la qualité de conservation des archives, leur lisibilité et, par-dessus tout, de l’existence de registres où les différents moments de la vie ont été consignés (naissances/baptêmes, mariage et décès). D’une commune à une autre, d’un département à un autre et d’une région à une autre, les archives varient énormément. Il faut attendre les années 1700 pour commencer à trouver une certaine cohérence dans la tenue des registres. Il faut également ajouter les impondérables comme les incendies, la révolution, les guerres qui ont provoqué une disparition de nombreux écrits dont beaucoup de registres.

Bonne nouvelle, la généalogie est un loisir que l’on peut pratiquer presque sans dépenser d’argent ! Des sites Internet payants permettent parfois d’avancer plus vite et de débloquer une branche.
Les sites des archives départementales sont accessibles sur une simple inscription.

Télécharger ici la carte interactive des archives départementales.

– Les recensements de population
– les archives militaires
– les tables de successions et absences
– les hypothèques
– les minutes notariales
– les archives judiciaires
– les archives des enfants abandonnés
– le cadastre

Des tutos vidéos sont à votre dispositions ici.